Bye bye charge mentale

Le jour où le papillon est sorti de son cocon

Vivez la métamorphose de votre vie

Vous est-il déjà arrivé de traverser des phases de vie compliquées où vous avez serré les dents dans la tourmente ?

Des moments où vous avez porté beaucoup sur votre dos mais où vous avez essayé de tenir bon en vous disant “ça ira mieux demain”….  Sauf que le demain c’était  pareil – voir pire.

Des moments de “à quoi bon” ?

Moi j’ai vécu un moment comme ça il y a une dizaine d’années. J’avais l’impression oppressante d’être une balle rebondissante coincée dans une boîte sans porte ni fenêtre, et qui se cognait dans les murs en permanence à la recherche d’une sortie que je ne trouvais pas.

Je n’en pouvais plus.

J’avais besoin de trouver une solution pour que ça change.

J’ai longtemps erré mais j’ai trouvé, et une fois que j’ai eu débloqué un unique point, tout ce que j’attendais est arrivé à moi à la vitesse de la lumière !  Ca a été un tsunami de changement positif dans ma vie !

Cet article sera plus personnel que d’habitude : je vais vous confier ce que j’ai vécu dans cette phase très particulière de ma vie, pour illustrer le cheminement que j’ai fait qui m’a permis de m’échapper du quotidien vide de sens où je me débattais.

Un cheminement qui va peut-être résonner en vous, et vous aider vous aussi à réaliser la transformation positive dont vous rêvez.

Madame Pas de Soucis contre la charge mentale maternelle - vie de maman

Un travail acharné

A l’époque, j’étais chef de projets en informatique. On me confiait la responsabilité de la sortie d’un site web, et charge à moi de faire en sorte que le site web sorte en temps et en heures, dans le budget imparti, et avec la qualité attendue naturellement.

Comme dans tout ce que je fais, je m’investissais à fond sur ce sujet : les succès de mes projets étaient des réussites qui m’apportaient le sentiment d’accomplissement dont j’avais besoin.

Etant cadre, je ne comptais pas mes heures : je tournais régulièrement à 50-55 heures par semaine. Et même quand les mises en production se terminaient à 2h du matin, j’étais de retour au bureau à 8h pour être sur le pont en cas de problème lors de la connexion des premiers clients.

Rajoutez à ça un temps de trajet non négligeable – 2h30 par jour aller / retour – ça me faisait de sacrés semaines : j’arrivais le WE avec une bonne fatigue.

Mon métier de coeur

Tout aurait pu être bien dans le meilleur des mondes professionnels si le métier de chef de projets que j’exerçais avait été en phase avec les vibrations de mon coeur.

Mais ce n’était pas le cas.

J’avais besoin d’accompagner les autres. Je voulais mettre mon analyse experte au service de mon prochain. Communiquer avec le coeur des gens, pas qu’avec leur cerveau

J’avais découvert que certains métiers permettaient justement d’être au service du bien-être des autres, d’être le guide dont les gens ont besoin pour trouver leur chemin, le bras sur lequel s’appuyer quand on perd pied dans son quotidien.

J’avais donc démarré 3 ans avant une formation en naturopathie, une formation en 4 ans que je suivais le WE, en plus de mes semaines de boulot.

Une formation passionnante, qui m’ouvrait un boulevard de possibilités d’accompagnements des autres et donc d’épanouissement pour moi.

Mais une formation exigeante, qui demandait beaucoup de travail personnel.

Je n’avais pas d’enfant à l’époque, alors étant organisée et efficace, j’arrivais à tout gérer tout de front… mais au prix de gros horaires, quand je mettais bout à bout mon job et ma formation. 

La goutte d’eau

L’humain faisant partie de moi, je ne pouvais pas attendre la fin de ma formation pour l’intégrer dans ma vie professionnelle.

Je m’efforçais donc travailler en prenant en compte l’humain dans mon métier de chef de projets.

Dans ma façon de faire, je créais un dynamique d’équipe qui faisait que les gens avaient envie tout comme moi que le projet réussisse, et ils mouillaient la chemise aussi pour que le succès soit au RDV. Je ne les considérais pas comme de simples exécutants qui devaient travailler comme des robots, le petit doigt sur la couture du pantalon. On était une équipe. Je me souviens même d’une collaboratrice qui m’a dit quelques années plus tard que “je l’avais réconciliée avec sa vision des chefs de projets”.

Mais c’était souvent mal vu par mes managers. 

En tous cas, ce n’est pas comme ça que mon N+1 de l’époque travaillait, et voulait que je travaille.

Je me souviens parfaitement de la fois où mon N+1 m’a dit très froidement qu’il était “inacceptable que cette tâche de développement ne soit pas finie”, alors que je m’étais donnée à fond pour que le timing soit respecté… sauf que, la vie étant ce qu’elle est, il y avait eu des aléas liés à de l’humain, qui n’avaient pas été assez anticipés certes, mais dont on n’avait pas pu rattraper le retard.  Cette remarque m’est vraiment restée en travers de la gorge. Le fond du propos je pouvais le comprendre. On attendait de moi que le planning avance comme prévu, ce genre de remarque n’était pas agréable à entendre, mais OK. En revanche, la forme, elle, m’a réellement choquée. La phrase était tellement impersonnelle, déshumanisée, et tellement disproportionnée dans les termes choisis par rapport à la conséquence de décalage de 2 jours ! 

Mais j’ai pris sur moi, je n’ai rien dit.

Lorsque quelques jours plus tard j’ai appris que Karim*, un développeur de l’équipe qui devait travailler sur le projet, avait été affecté ailleurs, j’ai été voir mon N+1 pour l’alerter sur le risque de décalage du planning. J’avais besoin qu’il intervienne pour que Karim fasse bien ce qui était prévu, ou qu’il accepte le décalage de planning. Il m’a été répondu qu’il fallait que je me débrouille.  

J’ai pris sur moi, je n’ai rien dit. 

N’ayant pas d’autres solutions, je me suis replongée dans mon passé de développeur, et c’est moi qui ait fait la tâche de Karim – en plus de mes autres tâches. 

Alors quand l’équipe de test est venue me voir quelques jours plus tard pour me dire qu’ils ne pouvaient pas travailler si on ne leur fournissait pas un certain document en amont, document qu’ils étaient tout à faire en mesure de rédiger eux-même mais qu’ils refusaient d’écrire pour des raisons politiques internes inter-services, j’ai senti la moutarde me monter au nez. J’ai essayé de négocier mais je suis restée face à une porte fermée.

J’en ai parlé à mon N+1 : je m’attendais à du soutien… mais il a dit qu’effectivement, ce document il fallait le leur fournir. Sauf qu’il ne m’a pas donné de moyen de le faire, il n’a pas débloqué de temps de la part de qui que ce soit pour rédiger ce document.

Alors j’ai pris sur moi, je n’ai rien dit. 

Et j’ai commencé à faire le document moi-même…

Et en plein milieu, j’ai craqué. 

La bascule

Depuis des mois je me pliais en quatre pour réussir ce projet. Je faisais mon job à fond, en suivant comme je pouvais la manière de travailler très froide qu’on me demandait de suivre. Je faisais le boulot à  la place des autres. Et maintenant on me demandait de compenser les difficultés de politique interne de la société. 

C’en était trop.

Je suis devenue instable émotionnellement.

Au point de claquer la porte au nez de mes copines en plein cours de danse.

Au point de n’être plus capable de retrouver mon calme après les simulations de gestes de premiers secours lors de la formation de secourisme à laquelle je participais.

Et puis je n’y suis plus arrivée du tout.

Une amie m’a alors forcée à aller voir un médecin (merci encore à toi si tu me lis !) : au début je refusais mais elle a tant insisté que j’ai fini par accepter. Et le médecin est arrivé à la conclusion que j’étais en état d’épuisement professionnel. Le fameux burn-out.

Je culpabilisais d’être en arrêt de travail, je pensais à tout ce qu’il y avait à faire sur le projet.

Mais il fallait que je fasse une pause.

Cet arrêt a été au final d’une grande aide.

J’ai pu souffler et récupérer. Et m’autoriser à le faire ! Comme si un certain besoin de reconnaissance m’avait jusque là poussé en avant jusqu’à m’en rendre malade.

Et cela m’a permis d’atteindre un premier niveau de lâcher-prise : le monde a continué de tourner sans moi, le sujet ayant été repris le temps nécessaire à ma convalescence par une autre personne. C’était moins bien fait selon mes critères peut-être, mais ça avait avait avancé ! Je n’étais donc pas indispensable. Au temps pour mon égo, mais en ce cas, pourquoi se mettre dans le rouge ?

Le déclic

J’ai donc remonté la pente et je suis revenue bosser. 

C’était très difficile de revenir, toutes les personnes qui ont fait un burnout vous le diront : il ne fallait pas que je fasse une rechute !

Et là je sais que c’est tout ce que j’avais appris lors de mes différentes formations en développement personnel et en naturopathie qui m’ont permis de le faire… ainsi que l’objectif que j’avais de changer de métier, bientôt !

Mais le vrai déclic est arrivé quelques semaines plus tard.

Car dans ce contexte de “il faut que je tienne bon jusqu’à la fin de ma formation” est arrivée une nouvelle qui a fait l’effet d’une bombe en moi : ma société allait déménager à l’autre bout de Paris, ce qui allait me faire passer de 2h30 de trajet par jour à 3h15  – au mieux ! Juste IMPENSABLE !

Pour ce job où je ne m’épanouissais plus, mais que j’avais besoin de conserver pour pouvoir finir mes études et entamer ensuite le changement professionnel que j’espérais, je devais endosser une perte de temps supplémentaire de 4 heures par semaine !

J’ai cru devenir folle !

Crise de nerfs de maman

Je me suis alors creusée la cervelle dans tous les sens pour trouver des solutions. Hors de question que j’arrête ma formation. Hors de question que je passe 16 heures par semaine dans les transports en commun.

Il me restait deux solutions : changer de job – mais changer de job demande beaucoup d’énergie d’autant plus qu’il faut faire ses preuves au début … ou changer d’appartement !

Envisager de lâcher mon appartement était un crève-coeur : j’avais acheté 3 ans avant un joli petit 3 pièces que j’avais retapé, dans une petite ville des Yvelines calme et verdoyante mais dynamique. J’y avais mes amies. Mes cours de danse fétiche. Mes habitudes pour faire les courses. Bref, c’était mon cocon, mon petit chez moi.

Mais en y réfléchissant, ce lieu de vie avait un inconvénient notable : c’était une ville familiale, prévue pour les familles, avec peu d’occasions de rencontres amoureuses. Et rencontrer quelqu’un dans ce genre de contexte, ce n’est pas évident.

Car jusque là je vous ai parlé de ma vie professionnelle.

Beaucoup.

Normal : ma vie personnelle était au point mort. Divorcée et donc de nouveau célibataire à presque 40 ans, avec la tristesse de ne partager mon quotidien, mes réflexions, mes joies avec personne.

Sans enfant mais avec le regret de ne pas en avoir, et le tic-tac de l’horloge biologique qui résonnait de plus en plus fort dans la tête.

Dans ce contexte, l’épée de Damoclès du déménagement de ma société au dessus de ma tête, j’ai pris conscience de ce qui était important pour moi.

J’avais le plan d’action pour m’épanouir professionnellement, mais j’avais besoin aussi de m’épanouir sur le plan personnel ! Et ce n’était pas en restant dans mon petit appartement dans les Yvelines, tout agréable qu’il soit, que j’allais y arriver.

Cela m’a tordu le ventre mais j’ai finalement pris une grande décision. Une des plus dures de ma vie, mais avec du recul certainement une des meilleures que j’ai prises

Vendre mon 3 pièces dans les Yvelines pour louer un studio à Paris qui serait proche de mon futur lieu de travail. Une bien plus petite surface mais avec un tel confort de temps de transport, et une dynamique de vie à Paris bien plus en accord avec mon rythme et mes besoins, que la solution s’est finalement imposée.

Et vous savez quoi ? 

Vivez la métamorphose de votre vie

Une fois la transition passée, tout s’est débloqué d’un coup. Comme si ma vie avait vraiment commencé tout à coup. Comme si le papillon en moi avait fini sa métamorphose et était sorti de son cocon un beau matin de printemps !

En 6 mois de temps : 

  • J’ai rencontré LE compagnon idéal (je t’aime mon Amoureux).
  • On a emménagé ensemble, avec ses 2 enfants en garde alternée.
  • Je suis tombée enceinte (ben oui, quand c’est une évidence, parfois ça va très vite).

Et au retour de congé mat et après quelques mois supplémentaire à pouponner,  j’ai quitté mon job pour lancer mon activité en libéral.

L’épanouissement professionnel et l’épanouissement personnel, tout d’un coup ! 

Une tornade de changements, une transformation positive mais radicale de toute ma vie !

Quel bonheur de se sentir à sa place, de sentir la valeur qu’on apporte, de sentir son coeur rempli d’amour !

Le cheminement

Aujourd’hui je ne regrette rien. Je repense à ma petite vie confortable dans les Yvelines parfois, mais ce que j’avais en confort matériel ne remplaçait pas ce dont j’avais besoin profondément.

femme pensive

Vivre cette traversée du désert de moments difficiles m’a permis de prendre conscience de ce qui était important pour moi. Et l’inconfort de plus en plus présent a été le moteur du changement, le coup de pieds aux fesses qui m’a permis d’oser passer à l’action.

Ce burnout et cette pression du temps que je ressentais à courir partout tout le temps pour tout gérer, ça ma permis d’identifier les valeurs importantes pour moi. Par exemple, que j’aimais me donner à fond, mais pas à n’importe quel prix. Que me sur-adapter n’était pas la solution. Que prendre soin de moi était important aussi.

Et ça m’a permis d’oser envisager toutes les hypothèses, même celles dont au départ je ne voulais même pas entendre parler.

J’ai lâché-prise pour me laisser porter par le courant de la vie plutôt que de me raccrocher à la branche sur le bord de la rivière en buvant la tasse à chaque vague de changement qui m’arrivait dessus.

Avec du recul, ça me parait évident que c’était la bonne chose à faire. 

Mais je sais ce que c’est : quand on est dedans, la tête dans le guidon, on a déjà tellement à faire pour surnager au milieu de nos journées marathons qu’on n’arrive pas à prendre du recul. Et on arrive encore moins à savoir par quel bout prendre les choses, ni sur quel levier agir pour que les choses redeviennent confortables. On serre les dents en se disant que ça va passer, mais ça ne passe pas. Et c’est de plus en plus dûr.

Alors OSEZ !

Osez accepter le fait que parfois certaines choses, c’est trop.

Osez envisager toutes les possibilités pour changer ça.

Osez lâcher-prise sur ce qui n’est finalement pas si important.

Et avancez !

Pas facile ? Je comprends. C’est là qu’un regard extérieur a tout son intérêt !

Un regard extérieur peut clairement vous aider

Un regard amical pour alerter comme mon amie l’a fait, mais aussi un regard professionnel bienveillant pour guider, montrer le chemin vers la sortie du labyrinthe.

Aujourd’hui naturopathe et coach spécialiste en charge mentale, j’arrive très rapidement à identifier les points de blocage chez les mamans que j’accompagne sur le chemin du bien-être. 

Je connais les différents types de charge mentale, et avec avec mon expérience professionnelle et mon vécu personnel, je sais quels sont les leviers sur lesquels  il faut appuyer pour agir efficacement.

Contre la charge mentale des mamans, Madame Pas de Soucis vous conseille

Si vous aussi vous aimeriez que les choses changent dans votre vie – de – maman – qui -court- partout – tout – le -temps mais que vous n’y arrivez pas, n’hésitez pas à prendre RDV pour une session d’Action Coaching . Vous me parlerez de votre situation et de ce qui alourdit votre charge mentale et votre quotidien de maman, et je vous donnerai le plan d’action à suivre pour vous libérer de ces inconforts, étape par étape. 

Pour que vous aussi, vous ayiez les clés de la transformation positive que vous recherchez !

Que ferais-tu si tu n’avais pas peur ?

Qui a piqué mon fromage ? Spencer Johnson


Cet article participe au carnaval d’article « Les Clés de la Transformation Positive« , organisé par CréActiv’Epanouies , un blog qui partage chaque semaine des contenus inspirants sur l’Epanouissement Professionnels des Femmes. J’ai entre autres beaucoup aimé sa check list pour vivre des journées épanouissantes au travail et ses conseils pour se déconnecter du travail. Je vous conseille son blog !

* Le prénom a été changé

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13 commentaires

  1. Bravo pour ce témoignage tellement émouvant qui donne un bel espoir!
    Et encore pour ta participation au carnaval d articles

  2. Merci d’avoir partagé avec nous ces épisodes décisifs de ta vie. Ton cheminement vers une vie qui a plus de sens est inspirant et touchant. Beaucoup de personnes sont concernées par le burn out, et c’est vrai que parfois une aide extérieure (amie, coach, famille, etc) peut être salutaire.

  3. Merci pour ce partage. Nos entretiens téléphoniques pour mettre en place mon plan d’action m’aident tellement dans ma vie quotidienne pour être mieux organisé. Merci pour tout ce que tu fais.

  4. Bravo pour ce retournement de situation et merci de le partager. Certains auront des déclics, c’est sans aucun doute !

  5. Christine a dit :

    Je suis moi même en pleine traversée du désert avec des problèmes de santé qui ne sont pas là par hasard! Je suis en arrêt maladie depuis un an et devrai bientôt reprendre le travail avec beaucoup de questionnement et difficile à prendre une décision. J’ai déjà essayé en libéral sans pouvoir en vivre et la peur d’un nouvel échec.

  6. Magdalena a dit :

    Merci pour ton article ! Je te rejoins sur « j’aimais me donner à fond, mais pas à n’importe quel prix. » Le danger c’est que l’on a quand même tendance à jouer avec nos limites avant de se dire qu’une autre voie est possible et que trop c’est trop. Pas toujours évident de quitter sa zone de confort… mais c’est possible !

  7. Merci pour cet article et bravo pour t’être autant confiée. Parler de cette expérience ne doit pas être facile mais elle peut aider énormément de personne !

  8. Quel beau témoignage! Chaque lecteur-lectrice pourra se reconnaître dans un petit bout de ton histoire…

  9. Merci pour ce partage tellement inspirant ! Cela fait du bien de lire que changer est possible quand on se prend en main et que l’on accepte la transformation !

  10. Merci pour ton partage. Toutes nos experiences aident a la transformation. J’aime beaucoup la question « qu’est-ce que je ferais si je n’avais pas peur? ». Je pense que je vais ecrire un article. A bientot.

  11. Merci pour cet article, Valérie. Ton parcours est vraiment inspirant. Il montre qu’avec du courage et de la détermination, on peut transformer sa vie. Ton histoire donne de l’espoir et rappelle l’importance de suivre son cœur. Bravo pour avoir trouvé ton chemin et merci de partager cette belle expérience de vie avec nous ! ✨

  12. Ce jour-là, il a complètement transformé. Il est né à nouveau.

  13. Wahou, mais quel parcours ! Très inspirant !! Super que tu aies pu enfin trouver et t’épanouir dans cette nouvelle vie pro et perso 😉

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