Qu’est ce que le minimalisme ?
Le minimalisme on en entend de plus en plus parler, mais on ne sait pas forcément ce qu’il y a derrière ce terme. Pourtant le minimalisme et la diminution de la charge mentale, ça marche vraiment ensemble.
Si on prend la définition du Larousse, le minimalisme, c’est la “Recherche de solutions requérant le minimum d’efforts, de bouleversements“. Ok mais concrètement vous vous demandez ce que ça veut dire ?
Pas de soucis, la solution est ici !
Concrètement, le minimalisme c’est à la fois une approche philosophique et un mode de vie tout simple: l’objectif c’est de se simplifier la vie en réduisant le nombre d’objets qu’on a chez soi et en réfléchissant à sa consommation en général.
Sur le papier, cela peut sembler austère et triste. Au début, je me disais que cette histoire de minimalisme c’était un truc réservé aux ermites et aux ascètes. Un truc gris et terne. Moi, j’aime bien profiter de la vie, alors je ne voyais pas l’intérêt de me priver de certaines choses comme ça !
Et puis je me suis mise en couple et je suis devenue maman. J’ai commencé à traîner beaucoup plus souvent dans les magasins d’ameublement et en particulier chez Ikea. C’est quasiment devenu ma petite sortie type du dimanche : chez Ikea, je me sentais bien ! J’avais envie de me poser sur le canapé du premier petit salon pour regarder la fausse télé, de lire un faux livre de recettes installée sur le plan de travail de la première fausse petite cuisine, de ranger mes vêtements dans les penderies pleines d’aménagements de la troisième fausse chambre…. Ils sont forts chez Ikéa !
Un jour, posée dans un canapé lors de ma sortie du dimanche à Ikéa, je me suis demandée comment ça se faisait que je me sentais si détendue dans un petit espace complètement artificiel comme ça, entourée de pleins d’inconnus.
Et c’est là que j’ai eu le déclic : chez Ikéa, les décors sont mi-ni-ma-listes. Epurés dans le design des meubles bien sûr – style scandinave oblige – mais aussi et surtout épurés dans la déco. Pas de bibelots qui prennent la poussière. Pas de magazines / livres / cahiers de liaison / manuels scolaires empilés sur la table basse. Pas de pot “vide poche” sur le meuble de l’entrée plein de trucs-qu’on-ne-sait-pas-où-mettre-ailleurs. Pas de vêtements qui trainent. Bref, j’y trouvais le repos de l’œil et de l’esprit.
Alors je me suis re-penchée sur cette histoire de minimalisme pour voir comment le fait de le pratiquer pourrait m’apporter le confort de vie et la sérénité auxquels j’aspirais.
Comment je suis passée au minimalisme ?
Je vais être honnête avec vous : à l’heure où j’écris cet article, mon chez-moi est pour le moment loin de ressembler à une couverture de magazine faisant sa une sur le minimalisme idéal… MAIS rien qu’avec les choses que j’ai déjà mises en place, ça a considérablement diminué ma charge mentale ! Je vous explique ça tout de suite.
Mais d’abord il faut que je vous raconte le tsunami que j’ai ressenti qui m’a fait me mettre en marche vitesse grand V en direction du minimalisme..
Le poids du sac à dos de la charge mentale
Après ma prise de conscience chez Ikéa, en bon chef de projets – mon ancien métier – la première chose que j’ai voulu faire avant de décider dans quelle mesure j’allais changer quelque chose dans ma maison, c’est de faire un petit état des lieux avant de commencer.
J’ai commencé par le salon, la pièce que je préfère de la maison car toute la famille s’y retrouve tout le temps. Je me suis mise debout à l’entrée de la pièce, et j’ai juste regardé autour de moi… Et c’est là que je me suis pris une GROSSE CLAQUE. J’ai été submergée par une espèce de nausée, un truc gluant qui m’empêchait presque de respirer. A ce moment là j’ai mesuré consciemment l’ampleur de l’étouffement de charge mentale que je ressentais habituellement inconsciemment quand mon regard circulait habituellement dans la pièce.
Pourquoi ? Tout simplement parce que mon regard s’arrêtait tous les 10 cm sur des tas d’objets plus ou moins utiles et plus ou moins rangés. Et à chaque fois :
1/ je me mettais à rajouter un truc sur ma to-do list en rapport avec cet objet. Vlà la charge mentale ! Le ranger (“pourquoi il n’est pas à sa place ce truc ? Bon allez je m’y colle juste après” ). Le réparer (“Allez ce soir c’est vraiment promis, au lieu de regarder ma série TV préférée je sors ma trousse à couture et je raccommode le trou de ce pantalon… Pfff j’ai la flemme”). Le remplacer (“Ah là là, il va encore falloir que je trouve le temps de faire les courses je sais pas où”) Nettoyer dessous (“encore du ménage ! je viens juste de finir de nettoyer la cuisine !”). Racheter le même en plus grand (“mince le petit grandit vite il faut que je pense à racheter un kimono plus grand la prochaine fois que j’irais au magain de sport”)… Bref, vous voyez le genre ?
2/ mon regard avait de plus en plus de mal à décoller pour aller un peu plus loin. Comme si j’avais un sac à dos qui s’alourdissait de plus en plus, et que mes yeux refusaient de regarder plus loin de peur que le sac à dos de la charge mentale ne finisse par devenir trop lourd.
Vraiment j’avais l’impression d’étouffer.
Ranger… ou pas ?
A ce moment là je me sentais tellement mal que je n’avais plus le choix, je me suis donc lancée dans une grande séance de rangement.
J’ai passé toute la matinée à remettre de l’ordre : jeter les papiers inutiles qui trainaient, remonter les jeux du petit dans sa chambre, ranger les vêtements secs dans mon armoire, replacer les livres sur l’étagère de l’entrée…Telle Samantha dans Ma Sorcière Bien Aimée, je m’activais en mode accéléré pour tout ranger et donc épurer le visuel du salon, afin que mon regard puisse enfin circuler librement.
Après quelques heures à bien transpirer, je me suis arrêtée : mon salon respirait effectivement mieux… mais malgré tout mes efforts, moi, je ne respirais pas vraiment mieux !
Pourquoi ? Parce que mon cerveau savait très bien que les objets avaient simplement été déplacés, sortis du champs visuel du moment mais toujours présents, là dans la maison. Il avaient juste changé de poche dans le sac à dos “charge mentale” que je portais, mais je sentais toujours leur poids !
Mais surtout, ce qui m’a vraiment plombée, c’est que quelques heures / jours après, mon salon était revenu dans le même état ! C’était comme si je n’avais rien fait ! 😩😩😩
Ranger seulement, n’était donc pas la vraie solution. Bien sûr avoir de beaux rangements, des boîtes dans son dressing ou ses étagères, des chaussettes bien alignées dans les tiroirs et de grandes penderies / armoires pour votre garde-robe, ça aide à ce que les choses ne traînent pas partout et tout ça arrête de vous encombrer l’esprit.
MAIS je me suis rendue compte que pour me libérer de ma charge mentale, je n’avais pas le choix : il fallait que je réduise la voilure. J’avais besoin de TRIER, faire un VRAI bon tri. Jeter des choses, oui, le mot est lâché. Ou s’en séparer sous une forme ou une autre. Vendre… ou mieux encore pour s’alléger l’esprit : DONNER ! Et ne garder que l’essentiel (enfin, ce qui est essentiel pour vous !)
Je devais passer à l’étape incontournable du minimalisme pour alléger ma charge mentale : le désencombrement. Vous allez voir l’effet que ça m’a fait !
Désencombrer, la première étape du minimalisme anti charge mentale
Je me suis donc équipée de 3 choses : des sacs poubelles, des cartons, et l’adresse des associations caritatives des environs à qui je pourrais déposer les objets en bon état pour qu’ils servent à d’autres personnes.
Parce que je savais déjà à ce moment là que j’aurais une difficulté majeure avec le désencombrement nécessaire pour passer au minimalisme : me séparer de certains objets encore en bon état, mais qui avaient une histoire pour moi, auxquels des souvenirs étaient attachés. Je me disais que si je savais que ça allait servir à quelqu’un dans le besoin, ça m’aiderait à jeter des choses. Et ça a marché.
Si vous aussi vous tentez l’expérience (ce que je souhaite de tout coeur , vu le bien-être que j’ai ressenti à la fin de tout ça), voyez autour de vous comment Emmaüs, La Croix Rouge, votre paroisse ou toute autre association locale serait preneuse de vos dons.
Vous pouvez aussi essayer de vendre les objets dont vous ne voulez plus, mais ça ne va pas éventuellement diminuer votre charge mentale que bien plus tard – et encore pas sûr, j’en parlerai dans mon prochain article.
En tous cas, pour faciliter votre désencombrement, gardez en tête que le minimalisme n’est pas forcément synonyme de vivre avec seulement 1 assiette et 4 T-shirts comme Fumio Sasaki, qui est tout de même un modèle extrême dans le minimalisme ! (Intéressant quand même de voir ce qui est possible ! Ca fait réfléchir ! Et d’ailleurs, puisqu’on parle de réfléchir, je vous invite à parcourir les articles de ce journal : vous verrez qu’il y a des tas de choses qu’on peut faire autrement, avec beaucoup de bénéfices) C’est vous qui mettez de mettre le curseur du degré de minimalisme que vous souhaitez ! Ce qui compte c’est d’être dans la démarche pour que ce que vous aurez choisi de minimalisme vous apporte ses bienfaits, pour votre bien-être et votre portefeuille… mais pour la planète aussi, surtout si vous y intégrez en plus une touche de simplicité volontaire / sobriété heureuse comme celle de Pierre Rabhi !
Bref je me suis équipée, et je me suis lancée. Je vous parlerai en détail dans mon prochain article de la méthode que j’ai utilisée pour faire ce tri et me mettre au minimalisme. Ce que je voudrais partager avec vous maintenant, c’est ce que j’ai ressenti. Mon salon était magnifique, lumineux, respirant, comme vibrant ! Et moi, vous ne pouvez pas imaginer à quel point je me suis sentie soulagée quand j’ai eu fini ce tri. Je me sentais tellement légère, l’esprit tranquille, apaisé !
Le moment était extraordinaire, mais les bienfaits ne se sont pas arrêtés là ce n’était que le début ! Je vous en parle un peu plus loin, mais d’abord il faut que je vous alerte sur un point.
Deuxième étape du minimalisme anti charge mentale : luttez contre le retour des objets !
Avoir désencombré, c’est bien. Mais ne faîtes pas l’erreur de racheter, cela ruinerait non seulement votre porte-monnaie mais aussi les efforts parfois douloureux que vous avez dû faire pour vous séparer de certaines choses… et cela ferait revenir votre charge mentale au galop !
Pour cela, il faut penser consommation de QUALITE. Concrètement ça veut dire quoi ? Cela veut dire 2 choses.
Dans le minimalisme, on limite la consommation de certains biens…
En minimalisme, on pense “consommation de qualité” plutôt que “consommation de quantité”. On consomme donc moins, mais mieux. Que ce soit pour limiter l’impact sur notre portefeuille ou l’impact sur notre planète, aujourd’hui on ne peut pas faire l’économie d’une réflexion autour de ce qu’on consomme !
Et on peut tout à fait augmenter sa qualité de vie en consommant moins, mais mieux.
Comment faire ? C’est tout simple : avant tout achat, il suffit de vous poser ces 3 questions :
1/ Est-ce que j’ai déjà cet objet ?
2/ Est-ce que j’en ai besoin ?
3 / Est-ce que j’en ai envie ?
Une fois que vous avez les réponses, vous allez pouvoir faire votre choix en votre âme et conscience. Mais ce sera alors bien VOTRE choix (respectable, quel qu’il soit) et non pas la conclusion de la démarche d’une entreprise qui essaye de vous faire acheter son produit pour augmenter son bénéfice, que vous ayez besoin de ce produit ou non.
Par exemple, faîtes attention aux publicités : elles sont faîtes pour vous faire croire que vous avez BESOIN du produit présenté pour être heureuse / bien dans votre beau / belle / atteindre votre objectif…. et que ce produit est un incontournable pour vous !
Donc mon premier conseil pour tendre vers le minimalisme et privilégier la qualité à la quantité, c’est d’éviter au maximum les pubs !
Si vous avez tendance à faire des achats compulsifs et que ça ruine vos efforts de minimalisme, vous trouverez des conseils pour bien gérer ça sur cet article du blog de Aurélie et Youri, spécialistes du passage à l’action vers le minimalisme !
Même chose, quand vous faîtes les courses, faîtes bien une liste avant d’aller au supermarché pour ne pas vous laisser attirer par les emballages irrésistibles, ou faîtes vos courses en ligne pour n’acheter vraiment que ce dont vous avez vraiment besoin ! Pas de tentations dans les rayons !
… mais en minimalisme, on se fait plaisir en consommant des services ou des biens de qualité !
Comme je vous le disais plus haut, pratiquer le minimalisme ça ne veut pas dire mener une vie austère et triste. Au contraire ! Simplement en minimalisme on préfère remplacer l’achat d’objets (en particulier s’ils vont prendre la poussière) par autre chose, en particulier par l’achat de services qui ajoutent vraiment à la qualité de vie.
Par exemple, si quelqu’un vous demande ce que vous aimeriez avoir pour Noël, vous répondrez par exemple “un bon massage bien-être” ou “des billets pour aller au parc d’attraction en famille” plutôt que “le petit sac à main doré que vous avez vu en magasin l’autre jour” (alors que vous avez déjà14 sacs à main dans le placard et que vous vous servez toujours du même, par ailleurs !)
Car pour être – et rester – dans le minimalisme, il faut trois étapes, qu’on retrouve dans l’art du rangement japonais appelé danshari que décrit Amélie-Marie sur son blog : pour faire le tri il faut Refuser – Jeter – Séparer.
Il faut donc refuser certaines choses !
Comment le minimalisme a réduit ma charge mentale ?
Avec le minimalisme, ma to-do list s’est allégée, et ma charge mentale aussi !
Une fois mon désencombrement fait, tout a coulé de source côté charge mentale.
La première chose positive, c’est qu’en faisant mon tri et en me décidant sur ce que j’allais faire de mes objets, je me suis allégé l’esprit de tout un tas de tâches qui étaient sur ma to-do list, mais pour lesquelles je procrastinais. La barque de la charge mentale était chargée de tellement de choses dont je n’avais pas conscience de manière globale !
Par exemple, avant de partir sur le minimalisme, ma charge mentale s’était alourdie au fil des semaines. Je savais très bien que j’avais 3 boutons à recoudre, que mon fils avait troué 2 pantalons que je voulais essayer de réparer; que mon sac à main fétiche avait besoin d’un bon coup de propre, et que j’avais des vêtements à donner “plus tard quand j’aurais le temps”.
Vous verrez en détail dans mon prochain article comment j’ai traité ces sujets, mais ce que je peux vous dire c’est que sur certains points, à force de procrastiner, certains sujets n’étaient plus d’actualité. Et pourtant ils pesaient leur poids ! Points réglés, charge mentale allégée. D’autres ont été ENFIN traités en deux coups de cuillers à pot. Là encore, charge mentale allégée un max !
Que ça m’a fait du bien !
Mais ce n’est pas tout, le bien-être a continué ensuite ! Comment ? Je vous dis ça tout de suite.
Le minimalisme permet de gagner un max de temps
Déjà dans le salon, ma table basse a arrêté de se couvrir de plein de trucs ressortis des meubles du salon, puisqu’ils n’étaient plus stockés (ou je devrais dire planqués) derrière les portes des placards. Enfin j’ai arrêté de re-ranger tout le temps les mêmes objets ! Quel bonheur de ne plus avoir à faire et refaire tout le temps la même chose – pas très rigolote qui plus est ! Et quel gain de temps !
Dans le registre gain de temps, il y a autre chose qui a changé aussi : mon temps de ménage a nettement diminué… et en même temps le degré de propreté des pièces en général a sacrément augmenté ! Car quand il n’y a rien qui traîne, qu’est ce que ça va vite ! Un coup de lingette en microfibre et hop, le tour est joué ! Ca a été particulièrement vrai dans la salle de bain, qui est maintenant nickel en permanence, et pas que pendant les 2 heures qui suivent la corvée de ménage hebdomadaire que je m’efforçais de faire.
Pareil dans le salon et la chambre parentale, une fois le minimalisme en place, plus besoin de soulever un à un tous les bibelots et autres objets qui trainent pour nettoyer dessous – tout en faisant attention de ne rien casser bien sûr. Un coup de plumeau électrostatique et c’est bon !
Et puis il y a un truc qui m’énervait vraiment avant d’intégrer le minimalisme, c’était de ne jamais trouver ce que je cherchais. Je passais un temps fou à tourner d’une pièce à l’autre pour trouver ci ou ça que j’étais persuadée d’avoir posé LA mais que je finissais par trouver AILLEURS après un temps de recherche infini. Quand on est pressés pour partir à l’école le matin et qu’on ne trouve pas les clés de voiture, la chasse à la clé paraît vraiment durer des siècles pas vrai ? Parfois, je n’arrivais même pas DU TOUT à retrouver ce que je cherchais, et je devais me résoudre à racheter le truc en catastrophe… pour le retrouver en général dans un endroit bizarre – sous mon nez – 2 jours après avoir récupéré l’objet de remplacement. “Les boules” comme on dit . Aujourd’hui j’ai moins de choses, je n’ai pas tout en double ou triple exemplaire, mais je sais où est ce que je cherche. Du coup je ne perds plus de temps à chercher !
Une place pour chaque chose, et chaque chose à sa place
Samuel Smiles
Le conseil en plus de Madame Pas de Soucis
Grâce au minimalisme, ma charge mentale a été nettement allégée.
Mais un quotidien facile, ce n’est pas que ça ! C’est aussi avoir une vraie qualité de vie. Et là encore, tendre vers le minimalisme, loin de me générer des frustrations comme je l’avais imaginé au départ, ça m’a au contraire apporté plusieurs choses en plus.
Le minimalisme apporte le confort de l’espace pour une vraie qualité de vie
Autre avantage et non des moindres : avec le désencombrement de votre minimalisme, vous avez l’impression d’être dans un palace même si vous vivez dans une maison de lilliputien. Pourquoi ? Tout simplement parce que quand vous avez besoin d’espace pour pratiquer une activité, vous en avez !
Quand on a des tâches à dépiler par exemple, en particuliers des tâches administratives, il faut pouvoir se poser dans un environnement zen pour ne pas perdre le fil de ce qu’on fait et être efficace. Cela fait partie des choses que j’ai d’ailleurs apprises quand j’ai lu le livre Zen To Done, de Leo Babauta, que j’ai résumé dans cet article où j’explique comment Zen To Done permet de réduire la charge mentale.
Mais plus de place, ça veut aussi dire plus de facilités à partager une activité en famille. Ce qui m’amène à l’avantage suivant.
Le minimalisme vous permet de passer plus de temps de qualité en famille
A la maison, on aime bien jouer aux jeux de société en famille par exemple. Comment voulez-vous poser un plateau de jeu sur une table pleine de bazar ?
On aime bien pâtisser aussi un peu le WE. Comment voulez-vous faire des gâteaux avec vos enfants si vous ne pouvez pas poser un saladier sur le plan de travail de la cuisine ?
Et si vous passez vos WE / vos soirées à faire du rangement et du ménage, comment voulez-vous passer du temps avec vos enfants et votre conjoint ? (Car j’imagine que pour vous aussi les journées ne font que 24 heures ?)
Finalement, le minimalisme permet de gagner en qualité de vie en recentrant votre vie sur les choses vraiment importantes. Au lieu de fuir vers l’avant, de courir tout le temps, et de vouloir aller toujours plus vite, le minimalisme vous invite à ralentir et à mieux vivre chaque instant.
Et vous, comment vous êtes-vous sentie après avoir rangé ou peut-être désencombré votre chez-vous pour la dernière fois ?
Merci pour ton article sur les bienfaits du tri et de la sobriété que je partage totalement ! Cela demande un peu de rigueur je trouve pour ne pas se laisser aller à ses travers (tendance à l’accumulation) mais globalement quel mieux être que de vivre dans des pièces épurées…
👍 bravo pour cet article
Vive tout ce qui nous désencombre…
Le frigalisme et le minimalisme sont les bases de notre liberté !
La vie SIMPLE….
Je suis tout à fait d’accord avec le toi! Depuis que j’ai fini mes études, j’ai déménagé presque tous les 2 ans. Du coup j’ai vite appris à ne garder que l’essentiel. Et puis ça fait moins de bordel, moi de rangements et moins de ménages !
Ma femme étant coach en rangement, je suis d’accord sur beaucoup de point.
Oui le minimalisme (même avec des enfants) facilite la vie, permet de ranger très facilement les appartements. Par contre je me dis qu’il ne faut non plus trop se mettre la pression afin de se débarrasser du plus d’objets possibles.
Très bon article merci. J’ai débuté le désencombrement il y a quelques temps avec un challenge. Chaque jour je devais me débarrasser du nombre d’objets équivalent au jour du défi : jour 1 : 1objet, jour 2 : 2objets…
Depuis j’ai décidé de ne pas me faire reenvahir donc si un objet rentre à la maison, un autre doit sortir. C’est dur pour les enfants mais c’est indispensable pour moi
Je partage complètement ☺ Je me suis lancée dans un grand défi désencombrement et cela m’a fait un bien fou. Le secret, c’est comme tu le dis, de ne pas laisser trop de nouveaux objets entrer. Refaire un tri tous les 6 mois est aussi une bonne méthode pour garder les bénéfices.
Bonjour,
Merci pour ce rappel ! J’ai dans ma Todo de faire du tri… que je devais faire le week-end dernier et pris par d’autres choses, j’ai encore reporté… Pourtant, c’était CE week-end là que je devais commencer à le faire. Hâte de lire le prochain article pour savoir comment je vais pouvoir m’y prendre 🙂
Super article. Ça donne envie d’être plus radicale.
Super article ! Cela fait un moment que j’aimerais désencombrer ma maison, mais j’ai du mal à me séparer d’objets qui me rappellent des souvenirs… mais ton idée de les donner à des personnes dans le besoin est superbe, ça va m’aider de franchir le pas ! Merci ☀️
Merci pour cet excellent article! Je tente moi aussi d’aller vers plus de minimalisme sans aller jusqu’à l’extrême…mais je rencontre une difficulté majeure : mon mari et mes 2 enfants sont dans la démarche complètement inverse! J’espère qu’ils verront un jour le bien que cela fait d’avoir moins d’objets, mais pour le moment, ce n’est pas gagné!!
Merci pour cet article qui nous fait du bien rien qu’en le lisant!! Et drôle de coïncidence, je viens de me mettre à désencombrer les placards et tiroirs de ma cuisine!! Qu’est ce que ca fait du bien!! C’est vrai que l’on s’en passerait bien de cette satanée charge mentale et réduire le nombre de choses qui nous entourent est un bon début.
Synchronicité ! 😉
Eh oui, ça fait un bien fou, n’est-ce pas ?
Merci pour ces bons conseils. Je m’en vais de ce pas faire du tri en commençant par mon dressing ! C’est là où j’ai tendance à accumuler ! Je sens que cela va me faire du bien !!!
Le tri est la.base de tout ! Merci pour le partage de cet article très complet et qui nous permet de nous améliorer !
C’est super important, oui, je suis d’accord
Super ! Bravo !